Kamikaze Kaitou Jeanne

Titre original : Kamikaze Kaitou Jeanne
Auteur : Arina Tanemura
Nombre de volumes : Total : 7 (fini) Parus en France : Aucun
Années d'éditions : Japon : De septembre 1998 à août 2000 France : Un jour peut-être…
Editeurs : Japon : Shueisha Inc. France : Personne


Genre et Sujet : Magical-Girl/Shôjo

Maron(marlène) Kusakabe est une jeune fille de 16 ans qui vit seule, abandonnée par ses parents depuis l’âge de 10 ans, elle va au lycée avec son amie d’enfance (et voisine d’en face) Miyako Toudaiji. Mais Maron n’est pas une fille aussi ordinaire que ça, car la nuit elle est Kaitou Jeanne, (réincarnation de Jeanne d’Arc) qui a pour mission d’emprisonner l’âme de démons qui se dissimulent souvent dans des objets d’arts et de faire perdre la raison à leur artiste, mais la police menée par le père de Miyako cherche à mettre la main sur cette dernière & même Miyako qui considère Jeanne comme une grande rivale, mais elle ne se doute absolument pas que son amie est la personne qu’elle souhaiterait voir en prison.

Note :
* Une série TV de 44 épisodes a été diffusée en parallèle courant 1999/2000, ce qui explique les différences surtout vers la fin des 2 versions.


L'avis de FinalFan :
L'histoire : KKJ c’est du shôjo avec une touche de fantastique doté d’un esprit ouvertement magical-girl ! Elle se coupe principalement en deux parties (3+4) avec une seconde partie différemment traitée par rapport au portage animé, plus fouillé surtout avec les histoires d’anges & leur hiérarchie vis-à-vis de Dieu. La fin sans être super originale se lit bien, et on a bien sur droit à un « happy end » comme il se doit pour ce genre de lecture.
Les dessins : Que dire, si ce n’est qu’Arina Tanemura touche bien sa bille en design. Les personnages sont tous très réussis et ont une certaine classe. On échappe évidemment pas aux grands yeux et j’en passe, mais l’accent n’est pas trop porté dessus non plus, à noter aussi pas mal de SD lors de situations très comiques.
L'ambiance : On a droit à tout, moments de joies, de peines, de l’humour, du sérieux. La variété est là aucun doute possible ! Je trouve par contre que le manga est moins « dark » que la série, car le côté « victime » de Maron est beaucoup moins mis en avant que dans certains passages de la série (car oui elle en a vécu des vertes et des pas mûres), sinon c’est du tout bon, & le manga n’a vraiment rien à envier à la sa série, il est évidemment mieux que cette dernière sur bien des aspects, particulièrement lors de la 2è partie, un must pour les fans du genre !